Le culte de Stegal est perçu, de l’extérieur, comme austère et froid. Il prône la rigueur et la répétition en aspirant à la perfection. Si l’échec est toléré par le culte, l’abandon est vu comme une faute et un outrage envers Stegal. L’humiliation est un outil de prédilection pour punir les fautifs, qu’ils trichent (ou utilisent un raccourci vers le succès) ou abandonnent dans leurs entreprises.

 

C’est pourquoi le culte a comme devoir de protéger et d’entretenir les plus grands maîtres d’Édéa dans leurs domaines respectifs. Ce culte fait souvent office d’arbitre lors de compétitions sportives ou artistiques. Des enseignants dans différents domaines sont également souvent membres actifs du culte de Stegal.

 

Puisque ce culte encourage le dépassement de soi, il a également une réputation de compétitivité. En se comparant aux autres, il est possible de défier les obstacles et de s’affranchir de ses limites. C’est pourquoi ce culte entretient une relation souvent amicale envers celui d’Atarak et de Manowar. À l’inverse, les cultes de Sanctum et Glimm sont perçus avec hostilité puisqu’ils entravent et nullifient tous les efforts et le dûr labeur faits par les fidèles de Stegal.

 

Enfin, le culte de Stegal, dans une moindre mesure, entretient également un culte à la personnalité d’anciens grands maîtres et experts dans leur art respectif. Certains d’entre eux n’ont jamais, de leur vivant, proféré leur dévouement envers cette divinité, mais ont été réappropriés par le culte par après. Beaucoup de ces grands experts du passé deviennent des saints et, par conséquent, l’incarnation d’une facette de Stegal lui-même.